62 – Kamal, Étudiant, Dépucelé Au Douar, Par Si Ali (2) :

62 – Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (2) :
Ce sorcier de Si Ali est formidable, en très peu de temps, il a réussi à me manipuler le derrière, à me montrer son zob, à me caresser et malaxer les fesses à me dénuder et manipuler ses doigts dans ma terma et prêt à me pénétrer avec son gros zob ! Et maintenant, moi je désire qu’il me nique en urgence ! étonnant mais vrai !
« ya Si Ali, wach rak tassana ! douk zebek ! dhorka ! rani wajad ! rani 7ass bili teremti ma7loula ! achtar ! » (ya Si Ali ! qu’attends tu ! enfonces ton zob ! maintenant ! je suis prêt ! je sens ma terma toute ouverte ! dépêches toi !)
Et si Ali obéit à mon désir sexuel. Il retira ses doigts et pointa la grosse tête de son zob sur mon anus et poussa, mais ça ne rentre pas tout de suite. Alors, il lubrifia encore avec la salive, remis deux doigts, puis reprit son zob. De mon coté, je me suis penché au maximum en écartant mes cuisses. Et mieux j’ai placé chacune de mes mains sur chacune de mes fesses pour les écarter au maximum et offrir ainsi directement mon anus palpitant au zob. Je poussais aussi pour ouvrir mon anus et Si Ali a bien suivi et comprit. Alors, il en profita pour bien pointer son zob et le poussa au moment opportun, avec énergie. Et la grosse tête de son zob me pénétra. Cela me fit assez mal mais elle passa l’obstacle de la rondelle de mon anus. Le zob de Si Ali était dans mon cul. J’ai même ressenti comme une petite déchirure mais c’est passé rapidement. Enfin, j’avais le gros zob d’un homme à l’intérieur de ma terma et cela m’enchantait. Je n’avais aucune appréhension d’interdit ou de péché. Bien plus, j’étais agréablement content comme si j’attendais cela depuis des années, ces années de blocage et d’isolement. Et Si Ali commenta la chose :
« khlass ! rah zébi dakhal rassou ! sahbi, raya7 chwaya ! e’tnafass wa ousbour ! » ( ça y est ! la tête de mon zob est entrée ! mon ami, reposes toi un peu ! respires et patientes !)
Et moi, impatienté par les nouvelles sensations dans ma terma et dans ma tête, de répondre :
« ya Si Ali ! dakhal kamal ! madam rani wajed ! daz zebek daz ! » ( ya Si Ali ! pousses ton zob complètement ! puisque je suis prêt ! pousses ton zob ! pousses ! )
Et comme je ressentais agréablement le zob dans la chair interne de mon cul, j’ajoutais dans un «long gémissement de jouissance :
« ma t’khafach ! rani hasseyt qari e’tartag ! lastic t’7alate ! dakhal zebek kamal ya rajal ! » (ne craint rien ! j’ai senti mon cul exploser ! l’élastique de mon anus a lâché ! pousses ton zob en entier, ô homme !)
Et Si Ali n’attendait que cela.

Alors, il poussa son zob dans ma terma, mais doucement, ayant peur de me faire trop mal. Après tout c’était un dépucelage ‘une jeune terma vierge ! Comme mes mains étaient toujours au niveau de mes fesses, et que je voulais forcer Si Ali, j’ai empoigné la partie externe de son zob et je l’ai enfoncé avec force dans ma terma. Et il me pénétra à fond jusqu’aux couilles. J’ai entendu et senti son bas ventre qui claquait sur mes fesses et ses couilles contre l’intérieur de mes cuisses. Ça m’a fait mal mais atténué rapidement, et la sensation du rut brutal a été tellement formidable et déjà jouissif que j’ai hurlé de douleur et de plaisir :
« ahhh ! ya zeb lakhchine ! g’3atli qari ! bessa ch’7al 7’louwa hadha e’nayka ! ya Si Ali ! zid ! ana qari layk ! zebek ‘khchine wa e’nayka h’louwa ! » ( ahhh ! ô gros zob épais ! tu m’as défoncé le cul ! mais ô combien c’est agréable et jouissif cette nayka ! ya Si Ali ! continues ! mon cul est à toi ! ton zob est gros et ta nayka agréable ! )
Et Si Ali, qui avait aussi poussé presque un hurlement de plaisir et de surprise quant j’ai enfoncé son zob profondément dans mon cul, répondit à mon désir :
« ya zébi ! ch’7al qarak s’khoune ! wa 7’lou ! ya qa7ba ! dhork n’chab3ak neyk ! » ( ya zébi ! comme ton cul est chaud ! et doux, agréable ! putain ! je vais maintenant te rassasier de niquée !)
Et il se recula doucement son zob en arrière, mais sans le sortir de mon cul, laissant sa tête à l’intérieur. Ce mouvement la ssif de son zob était si agréable à ma chair intérieure que je n’ai pas pu m’empêcher de gémir encore, en tortillant mon derrière, cherchant encore le plaisir du contact. Si Ali me donna un petit coup sur la fesse et m’ordonna :
« Ray7i trankil ya qa7ba ! khalini n’7ouklouk teremtek ! mane ba3ade raki t’hassi bi chahwa al 7arra ! ousbouri ! » ( restes tranquille putain ! laisses moi te frotter teremtek ! ensuite, tu sentira le vrai plaisir brulant !). Alors, je suis rester tranquille malgré les sensations agréables de plaisir qui commençaient à me démager à fond dans mon cul et les frissons de mon corps.
Si Ali commença ses vas et viens, lentement et quant il enfonçait son zob, il y allait doucement. Cela m’affolait et je voulais encore plus. Je voulais des coups de butoir pour que son zob s’enfonce encore à fond, mais Si Ali y allait lentement. Après une dizaine de ce rythme, j’avais une sensation bizarre de mouillé dans ma terma. J’ai cru que le zob de Si Ali avait lâché son ju et je l’ai dit :
« Si Ali ! wach ! zebek t’lag h’libou déjà ! rani n’hass fi l’bal dakhal qari ! » ( Si Ali ! alors ! ton zob a déjà laché son jus ! je sens du mouillé dans mon cul !)
Et si Ali, avec toujours son ricanement sonore :
« ya kahba ! hadhak rah qarak ! houwa li yatlag fi chahwatou ! ki l’m’ra ! ibal e’zéb bah ihouk al qar bi souhoula ! wi tala3 chahouate e’zeb akthar ! signal al terma ! rahi wajda li neyk à fond ! » ( putain ! c’est ton cul ! c’est lui qui lache son plaisir, son désir ! comme la femme ! il mouille le zob pour qu’il glisse avec facilité ! et augmente le désir du zob encore plus ! signal de la terma ! qu’elle est prête à se faire niquer à fond !).
Un vrai professeur ce Si Ali ! Et il fonça ! Ses vas et viens devienrent des coups de reins puissants et accélérés. Il vient avec douceur mais il s’enfonces avec toute son energie. Ce sont ces coups de reins que je voulais et effectivement j’avait deviné qu’ils me donneraient de la jouissance et du plaisir à fond. J’ai commencé à hurler de plaisir mais Si Ali, mit sa main sur ma bouche et medit :
« sakri foumok ya qahba ! ma takachfinach ! 3adhi n’salak wa ideyk ! » ( fermes ta geule putain ! tu vas nous faire découvrir ! mords ta langue et tes mains !)
Et j’ai fait cet effort, mais c’était tellement agréable, ces démangeaisons et ces frissons. Je me sentais rempli par ce zob et possédé par cet homme et ces sensations m’étaient aussi agréables et jouissantes. Je faisais l’effort d’aider à ouvrir mon anus, mais les coups accelerés de Si Ali me secouaient contre le mur. Et Si Ali :
« Ahhh ! ya qahba ! ch’7al 7’louwa teremtek ! zebi rah ghadi youkhrj mine goudam karchak ! ahhh ! rahi jaya ! rahi jaya ! » (ahhh ! putain ! comme elle est douce ta terma ! mon zob va sortir par devant ton ventre ! ahhh ! ça vient ! ça vient !)
J’ai compris qu’il allait éjaculer.
Je ressentais la douceur des glissements de son zob en même temps que ses coups au fond de mon cul. Et le plaisir devint continu dans mon intérieur et j’attendais le lait de son zob avec impatience. Enfin, il colla avec violence son ventre contre mon derrière comme pour enfoncer son zob plus profond dans mon cul et gueula :
« hahi jaya ! zébi raya7 yatartag ! ya terma al baydha ! haki ! haki ! » ( ça vient ! mon zob va exploser ! ô blanche terma ! tiens ! tiens !)
Et avant qu’il ne termine sa phrase, il éjacula par trois puissants et chauds jets de sperme que j’ai bien ressenti dans le fond de mes entrailles. Si Ali gémissait et soufflait fort et moi, suivant son conseil, j’essayais d’etouffer mon plaisir, mais je criais quant même :
« ahhh ! ya Si Ali ! zid ! zidni hlibak ! s’khoune ! 7asseyt zebek rah doubla ! ya Si Ali ! 7alaytli qari bi shoumla ! radayte teremti qahabek ! wa 3amartouli qari za’n’na skhouna ! » ( ahhh ! ya Si Ali ! encore ! encore ton lait ! brulant ! j’ai senti ton zob qui a doublé ! ya Si Ali ! tu as ouvert mon facilement ! tu m’a rendu ta putain ! et tu as rempli mon cul de ton sperme brulant !)
A chaque éjaculation, je ressentais aussi, dans ma chair interne, les pulsations de son zob qui gonflait et se compressait pour me bombarder de sperme. Et Si Ali y ajoutait un coup de rein supplémentaire à tel point que, chaque fois, ma tête cognait le mur du WC car j’étais assez penché. Si Ali se reposa un instant tout en restant dans ma terma et cela me donna aussi beaucoup de plaisir. Je ressentais le zob et le sperme qui me remplissait le cul et je serrais les fesses pour essayer de les garder au maximum, quoi maintenant, une partie suintait entre mes cuisses. Même ce sperme qui glissait lentement entre mes fesses et mes cuisses me donnait des frissons. Il y a même pas une heure, j’étais un garçon coincé qui se branlait en cachette et maintenant, je donnais ma terma et mon cul au zob d’un homme presque inconnu et son sperme qui m’a inondé le cul et coulait sur mes cuisses me faisait plaisir.
Ou bien Si Ali était un sorcier qui m’a hypnotisé ou bien c’est moi qui avait des prédispositions pour ma terma. Si Ali étant un prof, je lui ai posé la question , et m’a dit :
« hadha sa7 ! choufoute teremtek fi dahkal WC ! 3aridha wa baydha ! malssa bla zghab ! » (c’est vrai ! j’ai vu ta terma dans le WC ! large et blanche ! lisse et sans poils ! )
Et il ajouta en me faisant quelques caresses sur les fesses et tout en gardant son zob dans terma :
« 3rafat’ha n’ta3 zbouba ! ki tkalamate ma3ak 3ala e ‘zeb ! wanta qbalate t’chou n’ta3i ! 3arafate bili e’nikak al youm ! wa teremtek t’7ib e’nayka ! » ( j’ai su qu’elle était pour des zobs ! quant on a discuté sur les zobs ! et que tu as accepté de voir mon zob ! j’ai compris que je te niquerais ce jour ! et que ta terma ainera cela !)
J’ai répondu que ma vie était complètement le contraire de cela et il m’a expliqué :
« n’ta ghayr ma laqaytach e’zeb e’lazam ! teremtek chamtou ! halate qarha ! wa chtatou ! » ( c’est parce que tu n’avais pas encore rencontré le zob qu’il fallait ! ta terma l’avait ressenti ! elle lui a ouvert son cul ! et elle l’a aimé !)
Son zob, dans mon cul ne semblait pas avoir fléchi et moi, après ce moment de repos, c’est sur, je recommençais à ressentir les démangeaisons de ma terma. J’ai oscillé du derrière tout en donnant quelques coups de cul au ventre de Si Ali qui a saisi immédiatement le message qui ricana :
« al qasba klatak ! ha qoutlouk ! dhagate zébi ! wa 7’sal zébi ! khlass ! ma tachbarach minou ! haya bina » ( la putain te démange ! je te l’ai dit ! elle a gouté mon zob ! et le miel de mon zob ! elle a besoin d’être rassasiée ! allez viens !)
Et il ressortit son zob pour laisser le maximum de sperme s’écouler. Puis sans changer de place et moi de position, il enfonça de nouveau son zob dans ma terma avec un geste violent et un « han » de désir. Cette pénétration brutale du gros zob jusqu’aux couilles et au fond de mon cul me donna un choc sexuel malgré que j’étais préparé. J’ai senti mon cul exploser de mouille et le plaisir agréable a été tel que j’ai gueulé :
« bi chawa ya Si Ali ! zebek rah madfa3 ! ga3arli qari ! bessah zid ! zid ya Si Ali ! 7ahat zebek fi qari h’louwa ! t’habal zouki wa moukhi ! nikni bizzaf ya Si Ali ! rani 7abayte zebek ! nikeni bezzaf! » ( vas y doucement ya Si Ali ! ton zob est un canon ! il m’a défoncé le cul ! mais, encore ! encore ya Si Ali ! les frottis de ton zob dans mon cul sont agréables ! affolantes pour mon cul et mon cerveau ! niques moi plus fort ya Si Ali ! j’adores ton zob ! niques moi fort !)
Si Ali, encore une fois, ricana bruyamment comme chaque fois que je demandais plus à son zob, cela amplifiat sa fierté, son égo mais ajoutait aussi à la puissance de son zob et de ses coups de reins. Ce qui augmentait les jouissances de ma terma et de mes fantasmes. Et il recommença ses vas et viens et comme le sperme s’était presque totalement échappé, je ressentais directement la chair de son zob dans mes entrailles. Ce contact direct de sa chair et l’élargissement de ma chair interne, à chacun de ses coups de reins, me donnaient des chocs de jouissances tellement agréables que je perdais de plus en plus la maitrise de mes pensées. Je devenais totalement esclave de ce zob, de ses coups, de son contact, des jouissances affolantes et Si Ali continuait à me niquer san merci. Il me tenait les hanches et me cognait de ses reins et moi, je perdais petit à petit l’esprit. Même les coups de ma tête, parfois sur le mur, je ne les ressentais plus. Ma terma mouillait et le zob glissait san aucune difficulté dans mon cul. Puis, plus rien, j’ai perdu lasuite. Et c’est quant Si Ali arriva au top et c’est la première décharge de son zob dans mes entrailles quinme fit reprendre un peu conscience. Il disait :
« ouchourbi ya terma al qahba ! nasguik bi hssal klawya ! ouchourbi ! » (bois ô putain de terma ! je t’arrose avec le miel de mes couilles ! bois !)
Je voulais resté ainsi pour toujours, car c’était agréable, non seulement ces glissements de zob et ces coups d’éjaculations mais aussi cette inondation qui me remplissait les entrailles. Quant il a vidé ses couilles par une troisième bordée, il s’est immobilisé dans mon cul, collé à fond à mon derrière. Je voulais savoir si son zob resterait dans mon cul si je me relevais et je lui ai dis :
« rani chahi e’nouth ! bessa7 khali zebek fi qari ! n’hab n’7assou wana wagaf ! wach rayak ? » ( j’aimerais me relever ! mais tu dois garder ton zob dans mon cul ! je désire le sentir quant je suis debout ! tu veux ?). Il était d’accord :
« t’7ab e’nikak wagafi ! bagari ! ki n’ta3 al khad3a ? machi ! hate qarek ! » ( tu veux que je te nique debout ! comme les bœufs !)
Oui, il a voulu et je me suis redressé. A ce moment là il a comprit pourquoi j’ai demandé cela. Quant je me suis relevé, ma terma, automatiquement a resserré ses muscles et surtout ceux de l’anus et du cul. Et cela à fait une grande pression sur son zob, comme une sussion, ce qui a obligé Si Ali à gueuler de plaisir tout en donnant un coup de rein automatique. Moi, je ne savais pas mais je voulais faire une expérience et ça a marché. Si Ali :
« ahhh ! ya zébi ! teremtek masstou ! rah ta’n’nane thani ! hate n’zidou nayka ! bil wagafi bagari ! » (ahhh ! mon zob ! ta terma l’a sucé ! et il s’est regonflé de nouveau ! viens on va niquer encore !)
Et moi, bien sur j’ai ressenti tout cela, quoique le pression et ce type de sussions sur le zob étaient automatiques donc involontaires. Mais le zob a réagit et s’est regonflé et cela, ma terma l’a bien ressenti comme signal et elle a réagit aussi en lançant sa mouille. Et Si Ali, debout, les mains sur mes hanches, mes cuisses bien écartées, se baissa un peu, ressortit un peu son zob puis brutalement il l’enfonça dans mon cul totalement ouvert comme une bouche affamée e désir. Lui, il a gueulé un coup et moi j’ai gémit à cause de cette violence, agréable et même afollante , tellement désirée et espérée continue. Debout, je sentais que la niquée a un sens et une impression différentes de celle qui nous oblige à se pencher pour tendre le derrière et la terma. Peut-être que l »offre de la terma est plus facile, car juste face au zob, alors que debout, il faut forcer l’anus à s’ouvrir. Mais quant c’est fait et qu’on ressent le corps de l’homme contre son dos, pas seulement ses fesses, on a un autre type de sensations. En tous cas, moi, je tendais le dos pour me coller à la poitrine de Si Ali. Je lui dis :
« wach rayak law t’massli bzazli ? » (que penses tu si tu touchais mes seins ?)
Et Si Ali obéit sans un mot, juste son souffle rauque et acceleré par les vas et viens puissants e son zob. Il libéra une de ses mains et la poussa sous ma chemise vers un de mes seins qu’il empoigna et malaxa avec plaisir. Il ne le savait pas, mais moi, je savais que j’avais des seins légèrement plus développés que ceux des garçons de mon âge à la fac et qui se dénudaient la poitrine sans complexe. Mais quant Si Ali palpa mon sein et constata sa consistance et les bouts qui étaient gonflés de plaisir sexuel, il me dit :
« ha goutlouk ! teremtek wa jasmak kamal qahab ! makhloukine ila nayk ! ila zbouba ! chouf bzazlak ! manfoukhine bi chahwa n’a3 nayk ! ki l’mra ! mine ba3ad n’fahmak » ( je te l’ai dit ! ta terma et ton corps complet sont des putains ! faites pour la niquée ! pour les zobs ! regardes tes seins ! gonflées par le désir de la niquée ! comme la femme ! je te montrerais après !)
Et il continua ses vas et viens tout en me palpant avec vigueur mon sein. Enfin, au bout d’une dizaine de coups de reins, il arriva au plaisir et, lâcha mon sein pour mieux s’accrocher à mes hanches, il colle à fond son ventre contre mon derrière. Puis, il éjacula par deux longs et puissants jets de sperme dans mon cul en gueulant à chaque pulsion, sensation interne qui me poussait à hurler mon plaisir à l’unisson avec Si Ali. Le plaisir et les jouissances que j’ai eu, en continu, durant ces vas et viens et surtout les bombardements des éjaculatuions de sperme brulant dans mes entrailles. Mais ce qui a aussi fait augmenter mon excitation dans cette position verticale complète, ce sont les contacts de son corps, sa poitrine puissante avec ses poils affolants contre mon dos imberbe et aussi de ceux de son pubis contre mes fesses et mon ventre. C’était aussi grisant que les contacts de son zob et de son sperme dans ma terma. J’étais comblé de l’extérieur et de l’intérieur avec cet homme mûr , viril, total.
Ensuite, il se tira de mon cul et le sperme coula en abondance entre mes fesses et sur mes cuisses. Son zob en partie bandé, brillait de son sperme blanchâtre. Même ainsi, pratiquement couché sur sa cuisse, il était superbe. Alors, je me suis accroupi et je l’ai empoigné pour le mettre dans ma bouche. Je l’ai léché, sucé et nettoyé tout en le branlant un peu et en le soupesant. Un vrai zob d’homme mûr, lourd et puissant, prêt à défoncer les chattes mais aussi les terma affolées par son volume, sa chair douce et en même temps dure comme un pieu quant il est gonflé. Oui un vrai zob d’homme que je viens de découvrir et d’aimer car il m’a dépucelé facilement, m’a niqué plusieurs fois et m’a initié à la sodomie.
Dorénavant, ce sera mon sport sexuel favori. Je vais le pratiquer avec Si Ali pendant toutes mes vacances et quant je retournerais à la fac, je chercherais un ou des hommes, comme Si Ali pour nous faire plaisir à moi et ma terma. Bien sur, je ferais attention dans mes choix mais je suis sur de réussir car je sais maintenant que j’aime la sensation du zob dans ma terma et aussi quant il pulse son miel brulant et aussi les coups de reins puissants et même violents qui me donnent du plaisir et de la jouissance. Avant de me quitter, Si Ali m’a dit :
« ghoudwa, nadik fi zriba n’ta3i ! e’nikak fi s’rir la7rith n’ta3i ! e’nikou 3arianine ! t’chouf 7lawate e’zeb fi e’nayk 7or ! » ( demain, je t’amènerais dans mon gourbi ! je te nikerais dans mon large lit ! nous nikerons tout nus ! tu verras la jouissance du zob en totale liberté !)
Et il m’a quitté en vitesse. Je voyais déjà la scène, nous deux entièrement nus et ma terma et mon corps aussi entièrement à son gros zob et son merveilleux corps poilu et cette image me fait frissonner. Ma terma recommençait à me démanger, et automatiquement, ma main se projeta sur mes fesses pour s’infiltrer dans leur sillon et m’enfoncer deux doigts dans le cul. Puis, quelques vas et viens à l’intérieur et même quelques coups violents pour calmer le désir de ma terma. Il n’y a plus de doute, je suis accroché et ma terma est insatiable. Il faudrait me procurer un zob artificiel, même un fruit ou légume ou un pieu de bois assez lisse et doux, pour me calmer le cas échéant en l’absence de mon amant et que je pourrais enfoncer dans mon cul lorsque, dans mon cul, les démangeaisons s’amplifient et je le garderais bien enfoncé tant que le désir sera présent. Je crois que j’aurais même du plaisir en marchant et oscillant des fesses avec l’objet dans mon cul. Ainsi, tout un nouvel avenir s’ouvrait pour moi avec la découverte des plaisirs enivrants que ma terma m’a cachés pendant des années. En tous cas, je me suis engagé, pour l’avenir, à lui assurer tous les désirs, les plaisirs et les jouissances qu’elle exigera de moi et de mon corps.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!